Comme l’année dernière, les élèves du programme Carbone Scol’ERE France et Québec ont eu l’opportunité d’échanger des écorrespondances ! Ainsi, quatre classes de chaque côté de l’Atlantique ont pu échanger sur leurs gestes quotidiens pour protéger l’environnement. Ce projet renforce leur engagement écoresponsable, leur citoyenneté globale, et leur motivation à agir pour…
2024-06-14Comme l’année dernière, les élèves du programme Carbone Scol’ERE France
et Québec ont eu l’opportunité d’échanger des écorrespondances ! Ainsi, quatre
classes de chaque côté de l’Atlantique ont pu échanger sur leurs gestes
quotidiens pour protéger l’environnement. Ce projet renforce leur engagement
écoresponsable, leur citoyenneté globale, et leur motivation à agir pour la
planète, laissant une empreinte durable dans le cœur et l’esprit des jeunes
participants.
Pour la deuxième année
consécutive, les élèves du programme Carbone Scol’ERE France et Québec sont à
nouveau connectés pour une expérience très enrichissante ! Cette année, quatre
classes de France et quatre classes du Québec se sont réunies pour une aventure
palpitante.
De chaque côté de l’Atlantique,
les correspondant·es ont écrit à propos d'elles et eux, ainsi que sur les
gestes écoresponsables mis en place dans leur quotidien pour protéger
l’environnement. Un projet offrant une multitude de bénéfices tant sur le
plan éducatif que sur le plan personnel et environnemental.
Un échange culturel et linguistique enrichissant
Si les écorrespondances ont
permis aux élèves français et québécois ayant pris part au projet d’échanger
sur les gestes écoresponsables mis en place dans leurs écoles et leurs familles
respectives, l’apport cette expérience va encore plus loin. De fait, les
élèves de France et du Québec, bien que partageant une langue commune, vivent
dans des contextes culturels distincts. Aussi les enseignant·es engagé·es dans
ce projet s’accordent pour dire que ces correspondances sont une occasion
précieuse pour découvrir des traditions, des modes de vie, des systèmes
éducatifs et des perspectives variées. En somme, d’autres réalités que les leurs !
Elles permettent aussi d’enrichir leur maîtrise du français en découvrant les particularités linguistiques de chaque région, telles que les expressions idiomatiques et les différences de vocabulaire et d’écriture. Les élèves ont par ailleurs exprimé beaucoup d’enthousiasme à l’idée de recevoir et d’ouvrir des lettres au format papier, une exception à l’ère du numérique.
Renforcement du sens de la citoyenneté globale
Les échanges renforcent également
le sentiment de solidarité internationale en montrant que les défis
environnementaux sont partagés et nécessitent des efforts communs. Les élèves
réalisent qu’ils font partie d’une communauté mondiale unie par un objectif
commun : la protection de notre planète.
En apprenant et en discutant des
pratiques écoresponsables, les élèves développent par ailleurs un sens accru de
leur responsabilité en tant que citoyens du monde. Ils comprennent mieux
l'importance de leurs actions individuelles et collectives sur l'environnement
global.
Motivation et engagement des élèves
« Ces échanges donnent une vision plus large. De voir que même de l’autre
côté de la planète, des enfants font des gestes, relèvent des défis, c’est très
motivant pour nos élèves ! », confie une enseignante française. Les
correspondances internationales sont perçues comme une activité stimulante et engageante.
Elles sortent du cadre traditionnel des cours et apportent une dimension
pratique et vivante à l'apprentissage, rendant l'expérience éducative plus
dynamique et intéressante.
Les écorrespondances viennent
repousser encore davantage les limites de l’engagement proposé par Carbone
Scol’ERE à travers les ateliers, le portail web, les défis en famille. Discuter
des gestes écoresponsables renforce cet engagement et leur implication directe,
appuyant leur rôle d’acteurs du changement, déjà induit par le programme.
D’une seule voix, les enseignant·es
de France et du Québec expriment leur satisfaction et leur volonté de
reconduire ce projet l’année prochaine. Toutes et tous proposent d’ailleurs que
les envois de courriers commencent en début d’année scolaire, afin de pouvoir
faire le plus d’échanges possible. De belles pistes de réflexion, afin que ce
projet continue d’ouvrir des horizons culturels, développer des compétences transversales,
renforcer le sens de la citoyenneté globale et motiver les élèves à s'engager
activement pour l'environnement.
Les jeunes ayant participé au projet cette année garderont un précieux souvenir de cette expérience, sachant qu'elles·ils ne sont pas seul·es à agir pour la planète !